MISE AU POINT SUR UN FAUX AMALGAME AVEC « MAISON ET OBJETS » …

 

Ne nous trompons pas !

 

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J’ai eu plusieurs fois échos,  que la  société de Maîtrise d’œuvre Maison et Objets gérée par Monsieur
Pascal Fourneau qui a construit un bureau de vente sur le Golf de Mérignies, laisse à penser qu’elle pourrait être la représentante de Demeures du Nord sur le Golf !

Je souhaite préciser de manière très catégorique, qu’il n’existe à ce jour plus aucun lien entre cette société
et la nôtre , malgré une tentative  récente mais vaine de coopération sur le Golf!

Nous ne pratiquons pas le même métier puisque celui-ci (Monsieur Fourneau,) est un Maître d’œuvre qui travaille
seul et propose des terrains à vendre ou des « terrains-maisons » pour des investisseurs privés…

Rien à voir donc avec notre métier de concepteur et constructeur de maisons individuelles dont dépendent environ
25 salariés, sans compter les nombreux sous-traitants sur chantier.

Il est vrai que Monsieur Fourneau a fait partie de Demeures du Nord il y a de nombreuses années, mais nous nous
sommes séparés depuis à présent plus de 10 ans ! Il n’en fait plus partie et ne pourrait en aucun cas prétendre à une quelconque légitimité au sein de notre société !

Mon point de vue sur la rigueur de mon métier s’oppose totalement aujourd’hui à sa vision de l’architecture et à
sa politique de technique et de gestion.

Les chantiers en cours, leur durée et le seul exemple de l’architecture de ce bureau de vente que je trouve
personnellement fortement discutable  dans sa forme et son mélange de style, me poussent vraiment à être vigilant afin qu’aucun prospect ne puisse  faire un faux « amalgame » !


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Comme chacun le sait, je reste attentif à ce que l’image de Demeures du Nord, pour laquelle nous avons tellement travaillé
depuis plus de 20 ans soit totalement respectée dans son indépendance !

 

 

 

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DOORBOT : LE MINI-VIDEOPHONE POUR SMARTPHONES …

La révolution des Smartphones continue !
 
Il faudra peut-être que je m’y mette moi-même et que je rende un jour mon vieux Nokia…6700 !…
En tout cas, ce nouveau produit révolutionne le marché des sonnettes de porte !

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Doorbot : La sonnette vidéo de maison sans fil connectée à
votre iPhone !
En effet, DoorBot est une sonnette intégrant une caméra vidéo qui vous permet d’être alerté sur votre Smartphone
quand quelqu’un sonne à la porte et en plus de le voir en vidéo sur votre celui-ci. La sonnette fonctionne avec 4 piles AA et son autonomie est d’une année selon le constructeur. La connection
entre le Doorbot et votre iPhone s’effectue en WiFi.

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91% des gens gardent leur smartphone à moins d’1 mètre d’eux
24h/24, et vous ?
Et autre bonne nouvelle pour les adeptes d’I-Pad, l’application peut aussi y être installée !
 
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Doorbot est vendue au prix de 189 dollars sur le site Christie Street
 
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DEMEURES DU NORD EST DEVENU PARTENAIRE DE l’ONG HUMANITAIRE « PLAN » …

Parce que le monde a besoin des autres…

Agissez

C’est avec plaisir que je vous annonce que Demeures du Nord est tout juste devenu Partenaire Officiel de
l’organisation humanitaire PLAN !

C’est pour moi une immense joie, sorte d’aboutissement, que Demeures du Nord puisse avec maturité développer
l’élargissement de son regard et de sa générosité ! Cette satisfaction, (pourquoi pas cette fierté), doit être ressentie aussi par chacun de mes collaborateurs qui, sans hésiter, sont pour tous
les vecteurs d’une réussite qui nous permet aujourd’hui de donner un peu du fruit de notre travail  à des enfants malheureux dont on se rapprochera ainsi, et auxquels plus souvent nous
penserons !

Ne parlons pas ici de stratégie ! Surtout pas de politique commerciale ! Nous n’avons pas besoin de
cela.

Parlons simplement de mécénat d’entreprise !

Parlons donc ici d’une démarche nécessaire pour une entreprise performante comme la nôtre, un devoir aussi de
pouvoir faire bénéficier une partie de nos profits à des associations et ainsi de les  aider à faire vivre économiquement des combats aussi évidents que nécessaires, particulièrement dans
celui du soutien caritatif qui concernent tellement de grandes et terribles causes pour ces derniers!  Aider même à sauver certains enfants ou peut-être simplement améliorer leurs
quotidiens…

Vous parler enfin dans notre site, dans notre blog, notre page Facebook ou dans la presse suite à nos nombreux
communiqués de presse, ce sera aussi et heureusement une manière de parler, dans une image dynamique, de nos actions afin que peut-être cela déclenche aussi, d’autres envies de participer aussi
au « devoir de partager avec le monde »…  Vous faire connaître aussi l’originalité du principe de solidarité qui consiste à pouvoir devenir le parrain ou la marraine d’un enfant, pour
l’aider à acquérir la dignité dont manquent trop ces victimes de pays pauvres…


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Demeures du nord a choisi de soutenir financièrement  PLAN France pour son action humanitaire dirigée
particulièrement  vers  la défense du droit des enfants !

 

PLAN est une Organisation non gouvernementale de solidarité
internationale :

Depuis 75 ans, elle agit sur le terrain pour rendre autonomes les enfants et les jeunes exclus vivant dans des
zones d’extrême pauvreté.

Sans aucune attache politique, religieuse ou gouvernementale, PLAN intervient aujourd’hui dans 50 pays en
:

•Afrique de l’Est,
•Afrique de l’Ouest,
•Asie,
•Amérique Latine.

Ces programmes d’une durée moyenne de 5 ans sont préalablement définis avec les communautés et les autorités
locales.

La vision de PLAN est celle d’un monde dans lequel tous les enfants puissent développer leurs potentiels dans
des sociétés respectueuses des droits et de la dignité des personnes.

PLAN inscrit son action dans le cadre de la promotion des droits de l’enfant tels que définis par la Convention
Internationale des droits de l’enfant de 1989, ratifiée par 192 pays.

PLAN est par ailleurs expert consultatif auprès de l’UNICEF et du Conseil Economique et Social des Nations
Unies.

L’action de PLAN n’est possible que grâce à la générosité du grand public, des bailleurs privés et publics. Dès
sa création, PLAN instaure le principe de parrainage pour soutenir les enfants et tisser des liens avec les donateurs. Aujourd’hui, ce sont 1,3 millions de marraines et parrains dans le monde qui
contribuent à financer plus de 6 000 projets de développement par an.

Ainsi en 2012, grâce à PLAN et à ses partenaires, ce sont 56 millions d’enfants et de jeunes qui sont sur le
chemin de l’autonomie.


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Plan France est un acteur de référence :
Fondée en 1993, Plan France est une Association de droit français, membre de Plan International. Grâce à ses 40
000 donateurs, Plan France finance de nombreux programmes destinés à leur donner un avenir meilleur.

Les fonds dont dispose Plan France sont directement versés sur le terrain, auprès de leurs bureaux dans chaque
pays bénéficiaire.

Plan France est Membre fondateur de la Coalition Française contre le Paludisme, membre de Coordination Sud,
réunissant les principales ONG françaises de solidarité internationale.

Leur conviction et leurs principes d’intervention :
PLAN considère que l’autonomisation des enfants et la mise en place de conditions favorables pour le
développement de leurs capacités sont les clés pour un développement à long terme. Tous ses programmes mettent donc l’accent sur les enfants, et plus particulièrement sur ceux qui sont exclus ou
marginalisés du fait de leur religion, de leur sexe, de leur ethnie… Dans le cadre des efforts à fournir pour ceux qui en ont le plus besoin, PLAN lutte depuis 2007, à travers sa campagne
internationale « Because I am a girl », contre les discriminations faites aux filles.

Pour PLAN, un changement réel sur le terrain ne peut être obtenu qu’avec l’implication des enfants, de leurs
familles et de leurs communautés :

Ainsi, les projets sont mis en œuvre par les communautés elles-mêmes et les actions conçues et réalisées avec
les enfants dans le respect de leurs droits.

Le travail de PLAN sur le terrain fait l’objet d’évaluations régulières qui permettent de mesurer l’efficacité
et l’impact de leurs actions. Ces évaluations sont un élément important garantissant la pérennité de leur présence sur le terrain.

www.planfrance.org

 
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QUAND KIJNO SE LAISSA PRENDRE AU JEU DU QUESTIONNAIRE DE PROUST …

Quelques semaines après la mort de l’artiste, le journal LA CROIX DU NORD a publié à nouveau ce précieux
document qui reste d’une grande actualité !

Merci à Marie-Elizabeth Bogucki, la journaliste qui avait recueilli ce témoignage voilà déjà 15 ans, d’avoir
retrouvé ces pages !

Impressionnantes réponses aux questions, qui se transforment parfois en de longs monologues…
Le ton est parfois grave, poétique, amusant, et frôle parfois la colère Tout au moins l’indignation !
Un texte singulier à l’image de ce qu’il fut toujours : franc et loyal !! 

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 « Questionnaire de Proust » avec Ladislas Kino

L’an prochain, c’est chose certaine la cathédrale Notre-Dame de la Treille, église mère du Diocèse de Lille,
sera enfin dotée d’une façade digne de ce nom… Et c’est le peintre contemporain Ladislas Kijno, qui a été choisi pour en dessiner la rosace.

Né en 1921 à Varsovie d’un père polonais et d’une mère française, Kijno passera son enfance dans le bassin
minier du Pas-de-Calais. Après des études à Arras, il suivra des cours de philosophie à la Faculté Catholique de Lille. Mais c’est finalement la voie de la peinture qu’il choisira.

Parmi ses plus grandes réalisations : « La Cène » pour l’église d’Assy, les 30 stèles monumentales pour la
biennale de Venise où il représenta la France en 1980…

Toujours à la recherche du sens du sacré dans l’Art, ses nombreux voyages à l’étranger –Chine, Japon, Ile de
Pâque, Polynésie, etc.- sont parmi les principales sources de son inspiration.

 

Votre rêve ?

Vivre définitivement en Polynésie pour cueillir, à bout de bras, les mangues dans la journée et les étoiles dans
la nuit.

Mourir à l’île de Pâques.
Jouer dans un quatuor à cordes avec Einstein.
Etre le souffleur de Molière.
Coiffeur de la Joconde.
Une pensée de Pascal.
Voler de fleur en fleur comme les papillons bleus.
Faire le trajet, avec les oiseaux migrateurs, du Groënland au Tchad.
Organiser, au Champs Elysées, un défilé de peintre et d’artiste le 29 juillet, jour de la mort de Van
Gogh.

Que la poésie inonde le monde en un énorme déluge comme au temps de Noé.

Qu’est-ce qui vous agace ?

Toujours les critiques d’avant-garde à la Biennale de Venise et à la « Documenta » de Kassel.
Le bruit du métal qui grince sur un morceau de verre ou celui de certains tissus qu’on déchire.
Etre obligé de faire de l’exercice physique.
Ma grande gueule, disons plutôt ma forte voix, mon débit professoral qui en agace plus d’un, quoique je pense
que dans les poubelles de mes paroles, on peut trouver, quelquefois, si l’on fait bien attention, une petite perle qui ne manque pas d’intérêt.

Les gens qui n’ont que le CAC 40 à la bouche et l’argus des tableaux à la main.
La fausse modestie.
Le coloriage des films en noir et blanc.
Les signes extérieurs de richesse.
La langue de bois.
Tout le temps que je consacre à des futilités alors qu’il n’y a pas une minute à perdre. C’est court la vie d’un
homme ! C’est très très court la vie d’un peintre !

Qu’est-ce qui vous fait rire ?

Les critiques d’avant-garde à la Biennale de Venise et à la « Documenta » de Kassel.
Les réponses des enfants de 3 à 5 ans. Exemple : au moment de la mort de Cousteau, un petit gamin répond à un
journaliste qui lui demandait s’il savait qui était le commandant Cousteau : « Oui, oui, je le sais, c’est le monsieur qui met un chapeau rouge pour ne pas attraper de coups de soleil quand il
nage dans la mer avec une bouteille de gaz…. »

Laurel et Hardy.
Coluche, Popeck.
Fernand Raynaud (surtout « Le défilé militaire » et « pourquoi tu tousses, tonton ? »).
Pierre Dac et Francis Blanche dans l’inénarrable sketch du fakir : « Votre Sérénité peut le dire ? »
Les Deschiens.
Les histoires de Cafougnette quand elles sont racontées par un vieux mineur qui connaît bien le patois.

Qu’est-ce qui vous fait peur ?

Les armes biologiques, chimiques et nucléaires. Les Charniers.
La capacité pour notre planète de s’autodétruire. Le savoir qui devient pouvoir.
L’utilisation d’internet par des fascistes, des obsédés, des sadiques et des pervers en tous genres.
Que 1.260 milliards de dollars changent de mains tous les jours pendant que des millions de gens crèvent de faim
ou sont au chômage. Les deux à la fois, bien souvent.

L’intolérance, la violence, toutes les formes d’intégrisme, en particulier quand la religion est utilisée comme
otage de la politique.

La pollution.
L’absence d’humour.
La technologie qui se développe à une vitesse démentielle alors que l’humanité piétine ou, bien souvent,
recule.

Ce qui se passe à nouveau entre la Palestine et Israël, alors qu’il y avait tant d’espoir.
Le sida.


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Qu’est-ce qui vous émeut
?

Les interminables files de malheureux au Rwanda et au Burundi avec cette ribambelle de pauvres gosses
squelettiques autour desquels tournent les mouches.

La modestie des grands chercheurs.
Les vieilles personnes seules dans une piaule au 5ème étage sans ascenseur.
Un clochard devant une vitrine de charcuterie à 12h30.
Les fleurs sur les tombes vraies ou artificielles.
La voix de Barbara Hendricks.
« Le dormeur du val » de Rimbaud
Charlot.
Les jeunes aveugles que je vois passer devant mon atelier et à qui on apprend à se servir d’une canne
blanche.

Le premier oiseau qui chante à la fin de la nuit.
Les gens timides.
Ces inconnus à la gare de l’Est, avec leurs lourdes valises mal ficelées : ils regardent des panneaux
indicateurs qu’ils ne comprennent pas.

L’émotion elle-même.

Qui (ou quoi) d’autre auriez-vous aimé être ?

Peintre de Lascaux.
Broyeur de couleurs pour Piero della Francesca.
Magicien, prestidigitateur, faire sortir des colombes de mon chapeau.
L’orgue de Bach, le clavier de Chopin.
La petite voiture qui se balade sur Mars.
L’auteur du « Cantique des Cantiques ».
Figure de proue du navire de Jean Bart.
Orfèvre de Toutankhâmon.
L’appareil photographique de Nadar.
Assistant de Fellini.
Et, ce qui n’étonnera pas mes amis, prof de philo à Aix-en-Provence.

Diriez-vous que vous avez réussi votre vie ?

Pas du tout. Je ne suis pas une mayonnaise.

Votre passe-temps préféré ?

Lire les formes dans les nuages.
Traduire le Nouveau Testament du grec en latin et inversement.
Consulter des dictionnaires en tous genres.
Jardiner. Et puis, surtout, peindre, peindre, toujours peindre.

La blague que vous n’avez jamais osé faire ?

C’était en 1989, à l’atelier des Tropiques du Musée Gauguin de Tahiti, où le directeur Gilles Artur m’avait
invité. Le jour tombait rapidement et je dessinais les magnifiques feuilles à longs doigts de l’arbre à pain qui avaient tant inspiré Gauguin dans les paréos de ses vahinés et Matisse dans ses
collages. Un inconnu s’approcha doucement de moi et me dit : « Vous êtes bien le fils de Gauguin ? ». J’ai appris par la suite que quelqu’un de mon entourage le lui avait fait croire. J’avoue que
pendant un dixième de seconde, j’ai failli répondre « oui ».


exposition Cannes - Kijno
Votre plus grand regret
?

Ne pas avoir assisté à la prise de la Bastille.
Que ce magnifique sacerdoce qu’est la peinture, tel que nous le concevions aussitôt après la guerre 40, soit
devenu ce répugnant marigot de la spéculation, où les collectionneurs se baladent sur les autoroutes de l’art, avec la cote des tableaux comme aide-mémoire et 40 malins dans le monde qui tirent
les ficelles, en s’en mettant plein les poches.

Votre plus grande fierté ?

Ne pas être tombé dans le piège de cette spéculation dont je parlais précédemment.
Mon père : patriote polonais, Premier prix de violon au Conservatoire de Varsovie, déporté en Sibérie par les
Tsaristes, évadé, mineur dans le Pas-de-Calais, émigré au Canada, gardant l’espoir malgré tout. Je me demande si, psychanalytiquement, je n’ai pas, en quelque sorte, réalisé la vocation
artistique qui avait été son rêve à lui.

Avoir milité avec Angela Davis. Mon amitié avec elle depuis plus de vingt ans.
Ayant traîné mes godasses dans les ruisseaux des corons, qu’on m’ait proposé d’entrer à l’Institut ; ce que j’ai
refusé, ne m’en sentant pas la vocation.

Avoir peint, en 1950, « La cène » de l’église d’Assy, pour le chanoine Devêmy et le Père Couturier ; et réalisé,
en 1997, la rosace de la Cathédrale de Lille, pour Monseigneur Vilnet.

Votre plus grosse gaffe ?

Je ne suis pas, je crois, un gaffeur professionnel. Je gafferais plutôt par excès de tempérament, ce que
j’appelle mon « effet volcan ». Mais, s’il fallait en trouver véritablement une : j’ai fait, en 1957, une terrible gaffe pour mon avenir de peintre, en foutant à la porte un très important
marchand de tableaux américain qui m’offrait un mirifique contrat d’exclusivité : ce n’était pas ma conception de l’art. Il m’a dit : « J’espère que vous ne le regretterez pas ». Je ne l’ai
jamais regretté, mais j’ai l’impression que, lui, ne l’a jamais oublié.

Votre plus grosse colère ?

Je n’ai pas une nature colérique. Simplement, quand je travaille en équipe, par exemple actuellement pour la
rosace de la cathédrale de Lille, il m’arrive de hurler pour redresser la barre. On ne peut pas appeler cela des colères, tout au plus des coups de vent force 9. Cependant, une chose a failli me
mettre véritablement en colère : pendant un débat à la télévision, sur l’OTAN, un des participants, à propos des fantassins de l’armée, a parlé froidement de « manière militaire immédiatement
consommable » (sic).

Quelle trace aimeriez-vous laisser derrière vous ?

Ce n’est pas du tout dans ma démarche de prétendre laisser des traces. Simplement peut-être quelques signes,
quelques hiéroglyphes furtifs, comme les étoiles filantes dans une nuit du mois d’août. Je n’ai malheureusement pas le génie de Rimbaud pour laisser sur la terre et dans le ciel les traces de «
l’homme aux semelles de vent » dont parlait Verlaine.

Votre livre, votre film de l’année ?

Celui de Jean-Pierre Mohen, sur les rites de l’au-delà et l’Hermès défenestré de Salah Stétié. En fait, je ne
lis pratiquement plus, je relis : Rimbaud, mon livre de chevet, et, tout récemment, « Les mémoires d’un touriste » de Stendhal, curieux tour de France, qui n’a pas pris une ride.

Quant aux films, c’est comme pour les livres. Je revois. Ai donc revu avec beaucoup d’émotion la Jeanne d’Arc de
Dreyer, avec Falconetti.

Récemment, qu’est-ce qui vous a le plus révolté ?
Qu’est-ce qui vous a, au contraire, le plus satisfait ?

Les massacres en Algérie. Les génocides. Ces milliers de gens dans le monde, traités moins bien que des bêtes,
ce qui ne nous empêche pas de manger quand nous voyons tout cela à la télévision.

Les attaques contre les Droits de l’Homme. Le racisme, la xénophobie, le nationalisme borné.
La tête en carton de Madame Trautmann présentée sur un plat, sans que nous descendions dans la rue.
Les chômeurs, Vilvoorde, les sans-papiers, les sans-logis, les enfants dont on abuse, qu’on viole, ceux qui
n’ont pas les moyens de manger à la cantine pendant que l’argent tourne à vide sur toutes les places boursières du monde !

Les négationnistes. Le climat malsain créé par les attaques pernicieuses contre la Résistance
française.

Je n’en finis pas de me révolter !
Par contre, ce qui m’a le plus satisfait ces temps derniers, c’est la lutte inlassable, bénévole, de certains
homme, de certaines femme –surtout des femmes- pour la liberté et la dignité de notre planète. Chez les hommes, je ne veux pas manquer de citer Théodore Monod, à 95 ans, prophète du désert et de
la paix, marcheur d’amour. J’ai aussi été très satisfait par la plus grande présence des femmes dans la politique, aux dernières élections.

Le combat où la cause qui vous tient le plus à cœur ?

Le combat de toutes ces personnes dont je viens de parler et auquel j’essaie de m’associer le plus étroitement
possible. Hélas, je vieillis et mes forces faiblissent.

Je tiens aussi, en particulier pour la France et l’Europe, à la cause de la culture et de la connaissance pour
tout le monde, jusqu’aux plus démunis ; sans exception. Un dictionnaire par citoyen. Gauguin dans nos assiettes et Rimbaud dans nos verres ! Avec, c’est évident, un toit, un métier et de quoi
manger tous les jours. Il faudrait ajouter Mozart dans nos usines. Et je voudrais signaler à ce propos le passionnant travail de Jean-Claude Casadesus, avec son orchestre de Lille, pour faire
pénétrer la musique (et de quelle qualité !) des plus hauts lieux du monde jusqu’à la prison de Loos.

Les personnes qui vous ont le plus marqué ?

Il y en a tant. Je suis honteux de faire un choix, mais puisque j’ai accepté de répondre à ce questionnaire
:

Mon père polonais et ma mère française (née à Barlin, près de Béthune) dans leur étonnante aventure
d’émigrés.

Ma femme, hôtesse de l’air rescapée d’un accident d’avion, et qui tient ma vie à bout de bras.
Sur le plan de la création : Germaine Richier, pour moi un des plus grands sculpteurs du monde, sans qui je ne
serais pas ce que je suis.

Paul Gauguin, surtout avec son mystérieux tableau : « D’où venons-nous, que sommes-nous, où allons-nous ?
»

Sur le plan philosophique, métaphysique que je n’ai jamais quitté : l’abbé Wancourt, mon professeur de
philosophie à « La Catho » de Lille pendant la guerre, Jean Grenier, Gabriel Marcel et Nikos Kazantzaki.

 

INVESTISSEMENT A BUT LOCATIF : LA NOUVELLE LOI DUFLOT EST EN VIGUEUR !

Chaque gouvernement a sa loi…


On se souvient des lois PERISSOL, BESSON, SCELLIER, visant à donner pour chacune des avantages fiscaux pour les investisseurs
privés construisant un logement destiné à la location…

Cette fois c’est Madame DUFLOT qui a été chargée d’établir un nouveau dispositif qui modifie très sensiblement la loi
Scellier.

Pour Demeures du Nord, nous étudions actuellement la possibilité et l‘intérêt de proposer aux investisseurs privés la solution
d’un concept constructif qui soit en bonne adéquation avec cette loi.

J’en reparlerai donc tout prochainement !

Issus du Guide de la loi Duflot, je vous en restitue les plus importants éléments :

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LA LOI DUFLOT :


1/ Un dispositif d’incitation fiscale à l’investissement en faveur de la construction de logements
Le nouveau dispositif d’incitation fiscale à l’investissement locatif qui entre en vigueur au 1er janvier 2013, vise un objectif
simple : construire des logements accessibles là où c’est nécessaire, c’est-à-dire dans les zones où la demande de logements est la plus forte.

Il va ainsi inciter les particuliers investisseurs à proposer à la location des logements neufs, dont le loyer sera fixé à un
niveau intermédiaire, c’est-à-dire inférieur d’environ 20% au loyer de marché. Ces logements seront construits dans des zones où les besoins en logements sont importants et bénéficieront à des
ménages ayant des ressources limitées (d’un niveau cependant supérieur au seuil leur permettant d’accéder à un logement social).

Le nouveau dispositif de soutien à l’investissement locatif sera à la fois plus incitatif sur le plan fiscal, mais aussi plus
exigeant en termes de contreparties sociales que son prédécesseur, le « Scellier ». Il devrait également être plus efficace et permettre la construction de 40 000 logements par an (contre 30 000
pour le Scellier).

> Mobiliser les particuliers investisseurs
Le dispositif fiscal présenté permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu pour l’acquisition ou la construction
d’un logement neuf, en contrepartie d’un engagement de mise en location de ce même logement pendant neuf ans, sous certaines conditions.

Si un particulier investisseur acquiert ou fait construire un logement neuf entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2016, il
pourra bénéficier d’une réduction d’impôt s’élevant à 18 % du prix d’achat du logement (dans la limite de 300 000 € et d’un plafond d’achat fixé à 5 500 €/m²), étalée sur neuf ans.

Le bénéfice de cette réduction d’impôt est toutefois soumis au respect de certaines conditions :
– le logement devra ainsi être mis en location pendant une période minimale de neuf ans,
– le loyer appliqué sera plafonné et inférieur au prix du marché d’environ 20 %,
– les locataires devront présenter un niveau de ressources également plafonné.
Il est possible de bénéficier de la disposition pour la souscription de titres de sociétés civiles de placement immobilier
(SCPI), si 95 % de cette souscription est investie dans des logements éligibles au dispositif et loués dans les conditions qu’il prévoit. Dans ce cas, la réduction d’impôt sera égale à 18 % des
95 % du montant de la souscription, étalée sur neuf ans.

Ce type d’opération ne pourra être réalisé, pour chaque propriétaire investisseur, que sur deux logements par an au maximum
(dans la limite d’un investissement total de 300 000 € par an).

La réduction d’impôt que permet ce dispositif est incluse dans le plafonnement à 10 000€ des avantages fiscaux.

> Construire prioritairement dans les zones en déficit de logement
Quels sont les logements concernés ?
– les logements acquis neufs ou en état d’achèvement ;
– les logements que l’investisseur fait construire ;
– les locaux affectés à un autre usage que l’habitation transformés en logement ;
– les logements qui ne satisfont pas aux conditions de décence et qui sont réhabilités ;
– les logements lourdement rénovés.

Construire des logements accessibles là où c’est nécessaire
Contrairement aux dispositifs de soutien à l’investissement locatif précédents, seuls les logements situés dans les zones A bis,
A et et B1 seront désormais éligibles, c’est-à-dire l’Ile-de-France et les principales grandes agglomérations françaises. Les logements situés dans les communes de zone B2 ne seront éligibles au
dispositif que si la commune a fait l’objet d’un agrément délivré par le préfet de région.

Plafonds Loyers Loi Duflot pour 2013 :
Zone B1 : 9.88€/m²
Zone B2 : 8.59€/m²
Détail des zones : CLIQUER sur http://www.loi-duflot-conseil.fr/zones-loi-duflot.htm

2/ Un dispositif plus ciblé et plus social

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> Les contours d’un dispositif social


L’investisseur s’engage à louer son logement pendant neuf ans, à usage de résidence principale, à des locataires qui ne peuvent
être ni des ascendants, ni des descendants, ni membres du foyer fiscal de l’investisseur.

La première location du logement doit intervenir dans les 12 mois qui suivent l’achèvement des travaux ou l’acquisition du
logement.

Les ressources de ces locataires devront être inférieures à un plafond, fonction de la composition du ménage (cf. annexe). Ces
plafonds de ressources des locataires seront baissés par rapport à ceux du dispositif « Scellier intermédiaire », pour recentrer le nouveau dispositif sur les classes modestes et moyennes,
notamment pour ceux ayant des revenus situés juste au-dessus des plafonds donnant accès au logement social.

Le logement devra être loué dans le respect d’un plafond de loyer (cf. annexe). Ce plafond est fonction de la zone où se situe
le logement. Il pourra également être modulé à la baisse localement par arrêté du préfet de région afin d’être adapté au marché locatif local et d’être inférieur d’environ 20 % aux loyers de
marché. Enfin, il est également fonction de la surface du logement.

Ainsi, le bénéfice de l’avantage fiscal est soumis à une contrepartie sociale : l’investisseur s’engage à louer son bien à un
loyer inférieur au prix de marché et à des ménages aux ressources intermédiaires.

> La performance énergétique, une assurance de maîtrise des charges pour les locataires
Pour être éligibles à la réduction d’impôt, les logements devront atteindre un certain niveau de performance énergétique : en
métropole, pour les logements neufs, le respect de la réglementation thermique 2012 -RT2012- si le permis de construire a été déposé après le 1er janvier 2013, et dans le cas contraire, l’octroi
d’un label « bâtiment basse consommation, BBC 2005 », ou le respect de la RT 2012 par anticipation.

3/ Date d’entrée en vigueur
Le nouveau dispositif s’applique pour les investissements réalisés à compter du 1er janvier 2013. Il sera donc possible de
bénéficier de la réduction d’impôt dès 2014, sur les revenus déclarés en 2014 au titre de 2013.

Afin d’assurer une mise en place progressive du nouveau dispositif, une période transitoire est prévue. Pourront ainsi
bénéficier du dispositif Scellier les opérations ayant fait l’objet d’une réservation enregistrée chez un notaire ou un service des impôts au plus tard le 31 décembre 2012, et dont les actes
authentiques d’achat seront signés avant le 31 mars 2013.

 

L’OEUVRE DE SAM : COMME UN PHENOMENE SINGULIER DANS L’ART MODERNE …


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J’aime ces œuvres contemporaines dont les détails par centaines, presque microscopiques, aboutissent à une globalité picturale d’une beauté quasiment  abstraite !

Je pense que l’œuvre de Sam Appourchaux  fait justement partie de celles qui se regardent de loin pour la qualité globale de son
unité plastique
, mais nous attire pour nous en approcher et en capturer de près les détails 
parfois surprenants, drôles
aussi, voir même érotiques ! Une œuvre étonnante qui
ne ressemble à aucune autre et dont
l’identité
incontestable me séduit de plus en plus au fil de ses expositions…

Cela fait plusieurs années que je connais Sam, homme de charme et de sagesse, qui manie avec calme et maitrise l’ironie et le contrepied. Il ressemble à sa peinture. Ou
vice
versa.

Je ne veux pas parler ici à sa place. Je préfère supposer !


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J’ose donc supposer simplement qu’il pratique son art autant par le jeu de l’opposition du grand et du tout petit, le jeu des oppositions des matières (acryliques,
photographies, collages et « dripping, » ou des oppositions des formes, sujets, objets ou personnages…

J’ose supposer au moins que oui, son art est un jeu dont il se délecte !

Le spectateur en perçoit toute la maîtrise dans une sorte de narration dont chaque tableau est une pièce de son puzzle.  Spectateur
qui s’y « engouffre » dans une lecture qui ne lasse pas, tant à chaque regard se découvre avec étonnement ou amusement,  tel ou tel détail
qui était passé auparavant  inaperçu !


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Surprendre sans agresser…

A
65 ans, Sam je le sais, se sent libre dans sa création. Libre de faire, de penser, de choisir « son écriture , ses instruments ». Liberté d’un homme qui est venu sur le tard à la
peinture après une carrière de photographe… Il n’en est pas le premier : d’illustres exemples, de Jean Dubuffet à Alberto Burri ont démontré que la maturité peut être synonyme d’une œuvre
livrée enfin, mais déjà accomplie et comme en sommeil depuis longtemps dans l’inconscient de l’artiste.

Il y a une quinzaine d’années, la première reconnaissance de son œuvre passa par une exposition à la galerie Storme de Lille. S’en suivirent de nombreuses autres, à Paris,
Bruxelles et même Cracovie.

Il y a 2 ans déjà, une exposition à la galerie Dorval de Lille, qui présentait ses « bibliothèques » et quelques toiles inspirées par New York, connaissait un vif
succès.

Je suis certain que cette nouvelle exposition confirmera  qu’il est définitivement un véritable artiste, capable de surprendre à
chacun des « cycles » qu’il aborde !

 

 SAM APPOURCHAUX   –   7 février au 12 mars 2013

« Œuvres  récentes »

Galerie
Dorval

27 boulevard de la
liberté

Lille

 

 

RECORD DE DECEMBRE ENCORE BATTU POUR LES TAUX IMMOBILIERS !…


L’organisme très réputé « LE GUIDE DU CREDIT » nous propose ce jour ses dernières statistiques de taux moyens de
crédits immobiliers.  Je pensais  que nos résultats que j’avais publiés dans ce blog le 17 décembre 2012 avaient atteint un record de taux bas imbattable ! Et pourtant…

En voici les commentaires de cet organisme :
   

« Le record n’aura pas tenu longtemps. Alors que les taux d’intérêt fixes des crédits immobiliers
s’établissaient déjà en décembre à des niveaux jamais vus, le mouvement s’est depuis accentué sur un mois (entre -0.05 % et -0.10 %), pour le plus grand bonheur des emprunteurs.

Aujourd’hui, ces derniers peuvent prétendre, en moyenne, à un taux fixe de 3.10 % sur 15 ans et 3.55 % sur 20
ans. Mieux, il ne s’agit là que de moyennes. Dans la réalité, des taux avoisinant respectivement 3 % et 3.50 % peuvent être négociés.

Notre conseil : si vous disposez d’un apport correct et si votre situation financière est stable, n’hésitez pas
à concrétiser votre projet immobilier. D’autant que le ratio achat / location est devenu plus que jamais favorable à l’acquisition, en particulier dans les villes moyennes. »

 

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« COLLECTION » REMPLACE « LES BASICS DEMEURES DU NORD » …

C’est pour Demeures du Nord un véritable évènement, puisque le remplacement des Basics fait suite à une
réflexion et une étude de plusieurs mois…

En 1999, nous avions créé une gamme de maisons individuelles présentant des modèles plus « compacts » que les
maisons que nous avions pour habitude de créer au travers de notre bureau d’études. Il s’agissait surtout de proposer « une entrée de gamme » propre à Demeures du Nord permettant une accession
plus raisonnable pour des acheteurs qui, sans l’existence des Basics, auraient hésité ou renoncé à pousser la porte de DDN !

 Malgré le succès
des « Basics », et en observant  l’évolution de cette gamme, 2 changements primordiaux m’ont apparus utiles dans la lignée de notre politique commerciale :

 
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CHANGER DE NOM !
 

Sans doute que la double possibilité d’interprétation du nom « les Basics » a pu se poser comme une
interrogation.

En effet, la définition du mot « Basic » se voulait avant tout appeler des modèles simples et intemporels, des «
classiques » comme le sont un blazer ou un tailleur dans la mode, une mini ou une 500 dans l’automobile, ou même une sole meunière ou un « Merveilleux » dans la gastronomie…

Pour d’autres et à regret, certains ont pu percevoir dans ce mot un sens différent comme des modèles de base, à
la limite de bas de gamme. Chose que je me suis toujours refusé à commercialiser…

 C’est ainsi que
Les Basics disparaissent définitivement pour faire place à « COLLECTION par Demeures du Nord » !

 

COLLECTION, un nom qui reste synonyme d’une gamme particulière, qui résonne comme une proposition différente
tout en restant élégante… Un logo enfin, dont la finesse et le caractère intemporel expriment mieux la rigueur et la détermination de notre nouvelle entrée de gamme !

 

UNE COLLECTION DE 9 MAISONS !
 

Beaucoup de jeunes familles souhaitent faire construire leur première maison et rêvent de pouvoir s’offrir une
DEMEURES DU NORD, attirés par la ligne architecturale qui a fait son succès.

C’est pour eux qu’a été créé « COLLECTION » dont la vocation première est de pouvoir proposer une maison de
standing DEMEURES DU NORD dans un rapport qualité / prix performant.

(Modèles de 185 000 à 235 000€, hors terrain et branchements.)

 
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Il ne s’agissait pas pour autant de créer une nouvelle série de maisons bas de gamme comme existent déjà des
gammes comme « La maison abordable Kléa », ou encore la gamme 
« Accession » et
bien d’autres…   qui ont fleuri dès l’avènement de la crise économique avec des petites maisons basées uniquement sur l’économie par les surfaces, la conception et la mise en œuvre.

Rien à voir, ce n’est pas notre métier ! Demeures du Nord ne sera jamais un constructeur généraliste ! Notre
seul savoir-faire est la maison de standing, notre seul métier est de créer de manière originale !

Notre bureau d’études s’est penché avant tout sur les attentes et les nouvelles aspirations d’une jeune
clientèle sensible à l’élégance et l’architecture Demeures du Nord et désireuse de vivre dans un cadre de vie original et fonctionnel.

Pour atteindre notre objectif, nous avons bien évidemment optimisé nos prix pour chacun des modèles :
 nous avons limité nos surfaces en les rationalisant sans pourtant proposer des « minuscules maisons »: ce seront donc 9 maisons de 110 à 140m² habitables (hors garage ou car port), en
offrant à ces maisons « cadres de vie » des proportions intérieures généreuses et originales !

 
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 COLLECTION par
Demeures du Nord aura sans aucun doute été l’un des plus grands défis de son bureau d’études en démontrant encore notre volonté de ne jamais changer de cap dans une époque où certaines sociétés
préfèrent brader leur savoir faire plutôt que de continuer à investir et innover.

 

C’est en tout cas mon choix !

C’est aussi mon plus grand souhait : celui d’accueillir de nouveaux clients sensibles à cette proposition, à
notre ligne architecturale et à notre image !

Certains qui auraient hésité sans cela à pousser notre porte !

 

.

CRÉDITS IMMOBILIERS : STABILITÉ POUR LA FIN DE L’ANNEE …

 

clef ddn

BONNE NOUVELLE !

On se souvient qu’une légère remontée du coût du crédit immobilier avait été entamée depuis le retour des grandes
vacances, et certains craignaient que les futurs acheteurs puissent laisser filer leur chance d’obtenir un taux concurrentiel…

Au contraire, les taux se sont stabilisés, et certaines banques ont même légèrement baissé leurs taux d’intérêts !

 

évolution des taux 2013

UN CERTAIN OPTIMISME POUR LES SPECIALISTES

Selon le courtier Meilleurtaux.com, certaines banques ont effectivement baissé légèrement leurs taux d’intérêt.

“Certaines banques ont baissé leurs taux de 0,30 ou 0,40 point pour proposer des taux compétitifs, inférieurs à la
moyenne du marché,
constate Hervé Hatt, président de meilleurtaux.com. Les taux présentés aujourd’hui sont ceux des crédits qui seront accordés en 2014 avec l’objectif pour ces
établissements de commencer l’année dans les meilleures conditions”.

Même réaction pour l’organisme Le Guide Du Crédit : 

« La Banque Centrale Européenne venant d’abaisser son taux directeur à 0.25%, cette stabilité devrait perdurer
jusqu’à la fin de l’année.  Nous pouvons même rester optimiste et espérer une baisse des taux mais rien n’est garanti. 

C’est donc le moment d’y aller sans pour autant foncer tête baissée ! N’oubliez pas de comparer : les taux de votre
banque sont bas mais il y a peut-être encore plus bas ailleurs ! »

 

www.demeuresdunord.com

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