Cette expérience architecturale conçue par  Jakub Szczesny, assisté plus tard par l’écrivain israélien
Etgar Keret, va devenir à mon avis, un véritable icône à Varsovie !

Dans mon précédent billet, je vous parlais d’une maison d’une façade de 150 mètres…

Aujourd’hui parlons donc d’une largeur de… 1,22 m à son endroit le plus large, et 72 cm au plus étroit ! Une largeur moyenne de 97 cm !

Alors, doit-on parler d’une habitation pour cette construction prise entre 2 immenses bâtiments
?
A vous de juger !
C’est en tout cas une maison pour un unique habitant.
Bécaud disait : « La solitude,  ça n’existe pas… »  Cette fois j’en doute un peu…

Jakub Szczesny nous raconte : «J’ai commencé à penser à qui pourrait y vivre. Cela devait être une personne
qui voudrait être un ermite, quelqu’un qui aimerait passer du temps seul à faire quelque chose, mais quoi faire? »
Il continue : «Il faut un sens de l’humour, vous ne pouvez pas rester longtemps dans un endroit comme celui-ci !»

En tout cas, ce qui fut un concept artistique au début, devint réalité quelques temps plus tard.

Coincée dans une crevasse entre 2 bâtiments, « La Maison Keret » accueille son locataire unique et solitaire, comme vont se nicher certains oiseaux
lointains, dans la faille étroite d’immenses rochers…

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« Aujourd’hui est le début d’une grande aventure!! Après des mois de négociation pour acheter le terrain on dépose
notre permis de construire espérons que le dépôt un vendredi 13 va nous porter bonheur !
 Je vous ferais partager l’avancée de ce projet et espère que vous pourrez également me faire partager vos
expériences.
 N’hésitez pas à nous donner votre avis tous les conseils sont bons à prendre… » Tatieline.

C’est ainsi que commença ce très beau récit dans ce site qui constituera pour « Tatieline » (pseudo de ma cliente,) un
magnifique souvenir de la construction pour elle et ses proches !
Je vais rarement sur les forums, mais c’est ma cliente qui a eu la gentillesse de m’en avertir avec des mots que j’ai
trouvé particulièrement sympas et encourageants ! 

“Bonjour Monsieur,
J’espère que vous pourrez accéder à mon récit par ce lien:
   http://www.forumconstruire.com/recits/recit-12084.php
Je tiens à vous féliciter pour l’esprit de rigueur et de qualité que vous avez su insuffler à vos équipes ainsi qu’aux
entreprises avec lesquelles vous avez choisi de travailler.
Cordialement
Mme Deb…”

Allez ne mentons pas : c’est ici la plus belle publicité qui soit pour Demeures du Nord !
J’en remercie tous nos clients qui prônent si souvent la qualité de notre prestation et font part autour d’eux de leur
satisfaction !

C’est ce qui nous fait durer : ce qui consolide notre réussite !

http://www.forumconstruire.com/recits/recit-12084.php

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Quand il y en a un peu… ce n’est pas très grave…
Quand la maçonnerie  en est envahie … c’est franchement  triste à voir !

Mais qu’elle en est la cause ?

Dans tous les cas, les efflorescences (appelées couramment le salpêtre),  résultent de la cristallisation
de sels en surface de la paroi, sous l’influence de la température ou de l’état hygrométrique de l’air. Elles ne créent qu’un désordre momentané esthétique, mais bien sûr, ne nuit pas à solidité
et la durabilité de la construction !
Après une période d’humidité, les sels contenus dans le ciment se dissolvent dans l’eau et migrent à la surface
par capillarité. Puis le matériau sèche, l’eau s’évapore, et les “sels” se cristallisent, se transformant en un dépôt blanchâtre.
Malheureusement aussi, l’emploi d’eaux souterraines par certains fournisseurs de béton et ciment, chargées
souvent en sel aggravent ce problème…
Plus scientifiquement, arrivé en surface, l’hydroxyde de calcium réagit avec le CO2 de l’air et produit du
carbonate de calcium (carbonatation).

Peut-on les éviter ?
 

La meilleure solution serait de ne pas maçonner en temps de pluie et même sous un taux d’hygrométrie important.
Cela éviterait cette évaporation importante lorsque la température se réchauffe rapidement et que l’air s’assèche en quelques jours. C’est à ce moment que ces « sels » se transforment le plus en
salpêtre ! Mais les exigences de notre époque nous amènent à trop accepter des délais de construction, qui ne peuvent garantir toutes les précautions à prendre ! C’est dans ce sens que nous avons
souhaité rester fermes sur les délais et ne pas accepter de les raccourcir parce qu’un concurrent en fait un {faux} argument !
Chez Demeures du Nord, nous employons des briques de haute  qualité où le taux de porosité est faible
(<18%). Lorsque vous ferez votre choix de brique, nous vous indiquerons le taux de porosité pour chacune de celles qui vous séduisent : au plus le taux sera bas, au moins le risque de salpêtre
apparaitra !

   Document inconnu.

Comment faire disparaître ces  efflorescences
?

 D’abord être
patient : si la brique est de bonne qualité et que les traces ne sont pas trop prononcées, elles disparaitront d’elles même après plusieurs épisodes pluvieux dans les 2 ans…
Si le mal est plus prononcé, il est alors conseillé de frotter le mur à l’aide d’une brosse dure suivie d’un
nettoyage avec de l’eau chaude dans laquelle on a incorporé un détergent. Le détergent recommandé est le savon de Marseille sous forme de paillettes et vous devez ensuite procéder ensuite à un
rinçage rapide à l’eau claire en veillant de bien enlever toutes traces de saletés.

Voici aussi une autre astuce qui peut s’avérer très efficace… Prenez un sceau d’eau (environ 10 litres) et
mélangez avec un demi-kilo de sucre. Passez ensuite votre eau sucrée sur votre mur en brique rouge à l’aide d’une brosse et le salpêtre devrait disparaître.  Nous n’avons jamais testé ce
procédé et serions heureux de connaître las résultats d’une telle expérience !

Qui sait ? Ce n’est pas la première fois que j’ai entendu parler de cette surprenante méthode !

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