Le Conseil des ministres a approuvé la création d’un nouveau mode
de calcul pour les surfaces des logements qui permet “un gain possible de 10% de surface habitable en moyenne”.
Il s’agit notamment de supprimer la distinction complexe entre la SHOB (surface hors-oeuvre brute) et SHON
(surface hors-oeuvre nette) et de la remplacer par une notion unique, “la surface de plancher des constructions”, indique le communiqué du secrétariat d’Etat au Logement.
 
La non prise en compte des murs extérieurs dans le calcul de la “surface de plancher”, incitant à une bonne
isolation, devrait permettre de dégager un bonus en terme constructibilité de l’ordre de 10%, indique le secrétariat d’Etat au Logement.
 
“La surface plancher, c’est une surface de construction qui permet de ne plus pénaliser les construction bien
isolées et donc d’encourager la réduction des charges conformément aux engagements du Grenelle de l’Environnment”, explique le secrétaire d’Etat au Logement Benoist Apparu.
 
La prise en compte des murs extérieurs dans le calcul de la SHON incitait en effet les demandeurs à opter pour
des murs peu épais dans un but de maximisation des droits à construire, au détriment de l’isolation de la construction et donc de la performance énergétique des bâtiments, explique le secrétariat
d’Etat.
 
Cette “surface de plancher” s’entend comme l’ensemble des surfaces de plancher des constructions closes et
couvertes, comprises sous une hauteur de plafond supérieure à 1,80 mètre. Ainsi, contrairement à la SHON et à la SHOB, la “surface de plancher” est calculée à partir du nu intérieur des
façades.
 
Avec la loi Grenelle 2 en juillet 2010, le Parlement avait autorisé le gouvernement à légiférer par voie
d’ordonnance pour unifier et simplifier la définition des surfaces de plancher prises en compte dans le droit de l’urbanisme.
 
Prochainement, après la fin de son examen par le Conseil d’Etat, les Français devraient bientôt pouvoir
également être autorisés à ajouter, sans permis de construire, 40 m2 supplémentaires à leur maison, au lieu de 20 m2 actuellement.
 
Source : AFP

Pas facile de choisir un grès lorsque l’on sait qu’au-delà d’une variété innombrable de teintes, il existe 4 familles de produits !

LE GRES CERAME : le grès cérame pleine masse, composé d’un mélange d’argile et de silices, cuit à très haute
température et pressé, est d’une couleur homogène. Il est parfaitement calibré et bénéficie d’une résistance exceptionnelle.

LE GRES ETIRE : le grès étiré inclut de l’argile et de la chamotte (poudre de pierre volcanique), ce qui lui
donne une certaine rugosité. Etiré, découpé en rubans, il est coupé à la dimension souhaitée. Moins régulier dans le calibrage, il se reconnait à son grain et à la présence de stries au dos des
carreaux.

LE GRES EMAILLE : le grès émaillé est travaillé pour obtenir toutes les fantaisies dans les couleurs et les
motifs. Il peut présenter un aspect mat, semi-mat ou brillant. L’émaillage le rend plus sensible à l’abrasion.

LE GRES VITRIFIE : le grès vitrifié, pressé et non émaillé est doté d’un grain très fin qui lui confère l’aspect
soyeux et délicat de la porcelaine. Dur et résistant, il est parfait dans les pièces humides (salles de bains, cabinets de toilette, cuisine, qu’il soit d’un aspect satiné ou poli avec un éclat
brillant.

UN CLASSEMENT SPECIFIQUE :

Les grès font l’objet d’une classification particulière de 1 à 5 appelée PEI ( Porcelain Enamel Institute) qui
définit précisément leur type d’utilisation.

• Classe1 : usage très modéré (chambres salles de bains)
• Classe2 : usage modéré (pièces à vivre, salon)
• Classe3 : usage courant
• Classe4 : usage fréquent (entrèe, cuisine)
• Classe 5 : usage intensif. Ce groupe réunit les plus résistants tels que le grès cérame.

.

Pour que vos bouteilles révèlent à la dégustation la plénitude de leurs arômes, il est nécessaire de les
conserver avec le plus grand soin. Aussi les bouteilles à vieillir doivent-elles être maintenues à des températures précises et constantes, dans un lieu suffisamment humide. Selon la durée de
garde envisagée, leur lieu de conservation ou de vieillissement mérite aussi une attention particulière.

La Température :

Pour une bonne conservation du vin, la température de la cave se doit d’abord être constante avec des écarts
maximum de 3°.  Une bonne température de vieillissement doit se situer entre 10 et 13°. Une température de conservation ” inférieure ” ralentit le mûrissement du vin. Une température plus
élevée l’accélérera, mais risque de diminuer le potentiel de garde du vin et peut également l’empêcher d’atteindre son apogée. La stabilité de cette température est en revanche primordiale. Les
brusques changements de température, affectent beaucoup sa maturité.

Le Taux d’Humidité :

Le taux idéal se situe entre 70 et 75% de manière la plus constante possible.
Une forte humidité est fatale pour les étiquettes et les bouchons. Ces derniers deviennent moins hermétiques
dans le cas d’une cave trop sèche.

Malheureusement, les sous-sols de notre région, très souvent argileux et humides, sont un frein à la réalisation
de caves de qualité. La hauteur des nappes phréatiques sans cesse en évolution amplifient ce phénomène de non stabilité.

C’est dans ce sens que nous avons cessé depuis plusieurs années la réalisation des caves traditionnelles sur
mesure (parpaing + produits d’étanchéité), celles-ci posant plusieurs problèmes :
• Risque d’infiltration d’eau.
• Risque d’une trop grande humidité ambiante.
• Températures trop élevées en été.
• Températures trop froides en hiver.
• Ecarts de température trop importants entre les saisons.

Les Caves Enterrées Monoblocs Béton :

D’environ 6 à 7 M² ces caves monobloc peuvent contenir plusieurs centaines de bouteilles.
Totalement étanches, ces caves peuvent être installées dans tout type de sol, même humides.
Elles bénéficient d’une ventilation basse et d’une ventilation haute.
L’expérience me conduit à penser que ce lieu de stockage donne des résultats encore irréguliers particulièrement
sur le plan des températures et de leur constance.
Encore une fois, c’est la constitution du sol qui en déterminera la qualité de conservation.

Dans certains cas, compte tenu de caves trop chaudes ou trop froides, des clients ont fait installer un petit
système de climatisation pour régler ce problème de manière efficace.
Mais tout ceci à un coût qui devient prohibitif si l’on ne conserve que peu de bouteilles…

Les Armoires à Vin :

Aujourd’hui les habitudes ont changé et face aux offres des magasins spécialisés en vin, aux foires etc.., la
majorité des français opte pour un fond de roulement de 100 à 200 bouteilles qu’elle renouvelle régulièrement…

C’est dans ce sens que les armoires à vin ont un tel succès depuis quelques années !

Bien loin de l’investissement d’une cave enterrée, elles offrent des qualités de conservation inégalables
:
• Maîtrise de la température
• Préservation de l’hygrométrie
• Systèmes anti-vibration
• Isolation thermique
• Système d’aération permanente
Seule leur capacité se limite la plupart du temps à 280 bouteilles au maximum.

Pour exemple, une armoire de 192 bouteilles de « La Sommelière » (0.75 M X 0.60 MX 1.75 M) coûte environ 600
euros : si vous en achetez 2 vous êtes encore bien loin des ~ 6000 euros que représentent l’acquisition d’une cave monobloc !

Personnellement j’ai choisi cette option plus facile d’accès, plus propre et surtout d’une exceptionnelle
qualité de conservation !

Au fond, c’est principalement la quantité de bouteilles à stocker qui devrait décider du choix entre une cave
monobloc et une armoire de conservation…

ET SUR LA FRANCE ?

J’ai évoqué un peu plus bas les nouvelles normes parasismiques concernant notre région…

Certains m’ont demandé quelles étaient en France les régions les plus exposées à ces risques de séisme :

Comme vous pouvez le voir sur cette carte, il y a cinq niveaux de risque sismique en France. Sans surprise, les
Antilles, avec la Guadeloupe et la Martinique, sont les zones où le risque de séisme est le plus important, car situées entre deux plaques tectoniques.
Les normes de construction parasismiques dans les zones concernées vont donc être revues, afin de prévenir tout
risque de destruction trop important. Globalement, 60% des communes en France se trouvent dans des zones sismiques de niveau 2 à 5.

Malheureusement tellement d’actualité, le hasard a voulu que de nouvelles normes interviennent en France juste
après le drame du Japon…

Le gouvernement souhaitait depuis longtemps réduire la vulnérabilité de notre pays au risque
sismique.

L’évolution des connaissances scientifiques et la réglementation parasismique à l’échelle européenne, a
nécessité une réévaluation du zonage en se basant, non plus sur une analyse des données sismiques historiques, mais sur une approche probabiliste (prise en compte des périodes de retour).

Cette loi et le nouveau zonage sismique entre en vigueur le 1er mai 2011 pour tous les permis de construire
déposés à partir de cette date.

Des règles parasismiques très contraignantes dans les zones les plus
exposées :

Dès la conception, le risque parasismique doit être intégré, pas seulement pour la structure du bâtiment, mais
aussi pour tous les éléments qui influent sur celui-ci lors d’un séisme, comme le sol du site, le programme architectural, l’implantation du bâtiment, les équipements, etc…

La prise en compte de ses nouvelles règles parasismiques nécessite une étroite collaboration entre le
concepteur, le bureau d’études en génie parasismique, et le géotechnicien.

Sismicité de « très faible » à « modérée » dans la région
:

Dans le Nord, 315 communes sont classées dans la catégorie « sismicité modérée ». Il s’agit des communes du
Cambrésis, du Valenciennois et de l’Avesnois, excluant toutefois les communes situées à l’extrême sud du département. Le reste des communes du Nord est classé en « sismicité faible » (voir la
carte).
Dans le Pas-de-Calais, la majorité des communes sont classées dans la catégorie « sismicité faible », mais une
zone incluant 220 communes dans le Montreuillois et le long de la frontière picarde sont estampillées « sismicité très faible ».
Pour les maisons individuelles, seules les constructions situées en zone 3 (sismicité modérée) devront appliquer
ces nouvelles règles constructives.

 Le nouveau zonage par commune pour le Nord – Pas-de-Calais:

Les communes en zone de sismicité «modérée»:

ABANCOURT – ABSCON – AIBES – AMFROIPRET – ANICHE – ANZIN – ARTRES – ASSEVENT – AUBENCHEUL-AU-BAC – AUBERCHICOURT – AUBIGNY-AU-BAC – AUBRY-DU-HAINAUT
– AUDIGNIES – AULNOYE-AYMERIES – AULNOY-LEZ-VALENCIENNES – AVESNELLES – AVESNES-LES-AUBERT – AVESNES-LE-SEC – AVESNES-SUR-HELPE – AWOINGT – BACHANT – BANTIGNY – BAS-LIEU – BAVAY – BAZUEL –
BEAUDIGNIES – BEAUFORT – BEAUMONT-EN-CAMBRESIS – BEAURAIN – BEAUREPAIRE-SUR-SAMBRE – BEAURIEUX – BEAUVOIS-EN-CAMBRESIS – BELLAING – BELLIGNIES – BERELLES – BERLAIMONT – BERMERAIN – BERMERIES –
BERSILLIES – BERTRY – BETHENCOURT – BETTIGNIES – BETTRECHIES – BEUGNIES – BEUVRAGES – BEVILLERS – BLECOURT – BOUCHAIN – BOULOGNE-SUR-HELPE – BOUSIES – BOUSIGNIES – BOUSIGNIES-SUR-ROC –
BOUSSIERES-EN-CAMBRESIS – BOUSSIERES-SUR-SAMBRE – BOUSSOIS – BRIASTRE – BRUAY-SUR-L’ESCAUT – BRUILLE-LEZ-MARCHIENNES – BRUILLE-SAINT-AMAND – BRY – CAGNONCLES – CAMBRAI – CANTAING-SUR-ESCAUT –
CAPELLE – CARNIERES – CARTIGNIES – CATILLON-SUR-SAMBRE – CATTENIERES – CAUDRY – CAULLERY – CAUROIR – CERFONTAINE – CHATEAU-L’ABBAYE – CHOISIES – CLAIRFAYTS – COLLERET – CONDE-SUR-L’ESCAUT –
COUSOLRE – CRESPIN – CREVECOEUR-SUR-L’ESCAUT – CROIX-CALUYAU – CURGIES – CUVILLERS – DAMOUSIES – DENAIN – DIMECHAUX – DIMONT – DOMPIERRE-SUR-HELPE – DOUCHY-LES-MINES – DOURLERS – ECCLES –
ECLAIBES – ECUELIN – ELESMES – EMERCHICOURT – ENGLEFONTAINE – EPPE-SAUVAGE – ERRE – ESCARMAIN – ESCAUDAIN – ESCAUDOEUVRES – ESCAUTPONT – ESNES – ESTOURMEL – ESTREUX – ESTRUN – ESWARS – ETH –
FAMARS – FECHAIN – FEIGNIES – FELLERIES – FENAIN – FERRIERE-LA-GRANDE – FERRIERE-LA-PETITE – FLAUMONT-WAUDRECHIES – FLOURSIES – FONTAINE-AU-BOIS – FONTAINE-AU-PIRE – FONTAINE-NOTRE-DAME –
FOREST-EN-CAMBRESIS – FRASNOY – FRESNES-SUR-ESCAUT – FRESSAIN – FRESSIES – GHISSIGNIES – GOGNIES-CHAUSSEE – GOMMEGNIES – GRAND-FAYT – GUSSIGNIES – HARGNIES – HASNON – HASPRES –
HAUCOURT-EN-CAMBRESIS – HAULCHIN – HAUSSY – HAUT-LIEU – HAUTMONT – HAVELUY – HAYNECOURT – HECQ – HELESMES – HEM-LENGLET – HERGNIES – HERIN – HESTRUD – HON-HERGIES – HORDAIN – HORNAING –
HOUDAIN-LEZ-BAVAY – INCHY – IWUY – JENLAIN – JEUMONT – JOLIMETZ – LA FLAMENGRIE – LA GROISE – LA LONGUEVILLE – LA SENTINELLE – LANDRECIES – LE CATEAU-CAMBRESIS – LE FAVRIL – LE QUESNOY – LESDAIN
– LEVAL – LEZ-FONTAINE – LIESSIES – LIEU-SAINT-AMAND – LIGNY-EN-CAMBRESIS – LIMONT-FONTAINE – LOCQUIGNOL – LOURCHES – LOUVIGNIES-QUESNOY – LOUVROIL – MAING – MAIRIEUX – MARBAIX – MARCOING –
MARCQ-EN-OSTREVENT – MARESCHES – MARLY – MAROILLES – MARPENT – MARQUETTE-EN-OSTREVANT – MASNIERES – MASTAING – MAUBEUGE – MAUROIS – MECQUIGNIES – MILLONFOSSE – MONCEAU-SAINT-WAAST –
MONCHAUX-SUR-ECAILLON – MONCHECOURT – MONTAY – MONTIGNY-EN-CAMBRESIS – MONTRECOURT – NAVES – NEUF-MESNIL – NEUVILLE-EN-AVESNOIS – NEUVILLE-SAINT-REMY – NEUVILLE-SUR-ESCAUT – NEUVILLY – NIERGNIES
– NIVELLE – NOYELLES-SUR-ESCAUT – NOYELLES-SUR-SAMBRE – NOYELLES-SUR-SELLE – OBIES – OBRECHIES – ODOMEZ – OISY – ONNAING – ORS – ORSINVAL – PAILLENCOURT – PETITE-FORET – PETIT-FAYT – POIX-DU-NORD
– POMMEREUIL – PONT-SUR-SAMBRE – POTELLE – PRESEAU – PREUX-AU-BOIS – PREUX-AU-SART – PRISCHES – PROUVY – PROVILLE – QUAROUBLE – QUERENAING – QUIEVELON – QUIEVRECHAIN – QUIEVY –
RAILLENCOURT-SAINTE-OLLE – RAISMES – RAMILLIES – RAMOUSIES – RAUCOURT-AU-BOIS – RECQUIGNIES – REUMONT – RIEUX-EN-CAMBRESIS – ROBERSART – ROEULX – ROMBIES-ET-MARCHIPONT – ROMERIES – ROSULT –
ROUSIES – ROUVIGNIES – RUESNES – RUMILLY-EN-CAMBRESIS – SAILLY-LEZ-CAMBRAI – SAINT-AMAND-LES-EAUX – SAINT-AUBERT – SAINT-AUBIN – SAINT-AYBERT – SAINT-BENIN – SAINT-HILAIRE-LEZ-CAMBRAI –
SAINT-HILAIRE-SUR-HELPE – SAINT-MARTIN-SUR-ECAILLON – SAINT-PYTHON – SAINT-REMY-CHAUSSEE – SAINT-REMY-DU-NORD – SAINT-SAULVE – SAINT-VAAST-EN-CAMBRESIS – SAINT-WAAST – SALESCHES – SANCOURT –
SARS-POTERIES – SASSEGNIES – SAULTAIN – SAULZOIR – SEBOURG – SEMERIES – SEMOUSIES – SEPMERIES – SERANVILLERS-FORENVILLE – SOLESMES – SOLRE-LE-CHATEAU – SOLRINNES – SOMAIN – SOMMAING –
TAISNIERES-EN-THIERACHE – TAISNIERES-SUR-HON – THIANT – THIVENCELLE – THUN-L’EVEQUE – THUN-SAINT-MARTIN – TILLOY-LEZ-CAMBRAI – TRITH-SAINT-LEGER – TROISVILLES – VALENCIENNES – VENDEGIES-AU-BOIS –
VENDEGIES-SUR-ECAILLON – VERCHAIN-MAUGRE – VERTAIN – VICQ – VIESLY – VIEUX-CONDE – VIEUX-MESNIL – VIEUX-RENG – VILLEREAU – VILLERS-EN-CAUCHIES – VILLERS-POL – VILLERS-SIRE-NICOLE –
WALINCOURT-SELVIGNY – WALLERS – WAMBAIX – WANDIGNIES-HAMAGE – WARGNIES-LE-GRAND – WARGNIES-LE-PETIT – WARLAING – WASNES-AU-BAC – WATTIGNIES-LA-VICTOIRE – WAVRECHAIN-SOUS-DENAIN –
WAVRECHAIN-SOUS-FAULX – WILLIES –

Les communes en zone de sismicité «très faible»
ABLAINZEVELLE – ACHIET-LE-PETIT – AIRON-NOTRE-DAME – AIRON-SAINT-VAAST – AIX-EN-ISSART – ALETTE – AMPLIER – ATTIN – AUBIN-SAINT-VAAST – AUBROMETZ –
AUCHY-LES-HESDIN – AUXI-LE-CHATEAU – BAILLEULMONT – BAILLEULVAL – BARLY – BAVINCOURT – BEAUDRICOURT – BEAUFORT-BLAVINCOURT – BEAUMERIE-SAINT-MARTIN – BEAURAINVILLE – BEAUVOIR-WAVANS – BEAUVOIS –
BERCK – BERLENCOURT-LE-CAUROY – BERLES-AU-BOIS – BEUTIN – BIENVILLERS-AU-BOIS – BLANGERVAL-BLANGERMONT – BOFFLES – BOISJEAN – BONNIERES – BOUBERS-SUR-CANCHE – BOUIN-PLUMOISON – BOURET-SUR-CANCHE
– BREVILLERS – BREXENT-ENOCQ – BRIMEUX – BUCQUOY – BUIRE-AU-BOIS – BUIRE-LE-SEC – BUNEVILLE – CAMIERS – CAMPAGNE-LES-HESDIN – CAMPIGNEULLES-LES-GRANDES – CAMPIGNEULLES-LES-PETITES – CANETTEMONT –
CANTELEUX – CAPELLE-LES-HESDIN – CAUMONT – CAVRON-SAINT-MARTIN – CHERIENNES – COLLINE-BEAUMONT – CONCHIL-LE-TEMPLE – CONCHY-SUR-CANCHE – CONTES – COUIN – COULLEMONT – COUTURELLE – CROISETTE –
CUCQ – DANNES – DENIER – DOUCHY-LES-AYETTE – DOURIEZ – ECOIVRES – ECUIRES – ESTREE – ESTREELLES – ESTREE-WAMIN – ETAPLES – FAMECHON – FILLIEVRES – FLERS – FONCQUEVILLERS – FONTAINE-L’ETALON –
FORTEL-EN-ARTOIS – FRAMECOURT – FRENCQ – FRESNOY – FRESSIN – FREVENT – GALAMETZ – GAUDIEMPRE – GENNES-IVERGNY – GOMMECOURT – GOUY-EN-ARTOIS – GOUY-SAINT-ANDRE – GRAND-RULLECOURT – GREVILLERS –
GRIGNY – GRINCOURT-LES-PAS – GROFFLIERS – GUIGNY – GUINECOURT – GUISY – HALLOY – HANNESCAMPS – HARAVESNES – HAUTECLOQUE – HEBUTERNE – HENU – HERICOURT – HERLINCOURT – HERLIN-LE-SEC – HESDIN –
HESMOND – HOUVIN-HOUVIGNEUL – HUBY-SAINT-LEU – HUMBERCAMPS – HUMIERES – INCOURT – INXENT – IVERGNY – LA CALOTTERIE – LA CAUCHIE – LA HERLIERE – LA LOGE – LA MADELAINE-SOUS-MONTREUIL – LABROYE –
LE PARCQ – LE PONCHEL – LE QUESNOY-EN-ARTOIS – LE SARS – LE SOUICH – LE TOUQUET-PARIS-PLAGE – LE TRANSLOY – LEBIEZ – LEFAUX – LEPINE – LESPINOY – LIENCOURT – LIGNY-SUR-CANCHE – LIGNY-THILLOY –
LINZEUX – LOISON-SUR-CREQUOISE – LONGVILLIERS – MAGNICOURT-SUR-CANCHE – MAINTENAY – MARANT – MARCONNE – MARCONNELLE – MARENLA – MARESQUEL-ECQUEMICOURT – MARESVILLE – MARLES-SUR-CANCHE –
MARTINPUICH – MERLIMONT – MONCHEAUX-LES-FREVENT – MONCHEL-SUR-CANCHE – MONCHY-AU-BOIS – MONDICOURT – MONTCAVREL – MONTREUIL – MONTS-EN-TERNOIS – MORVAL – MOURIEZ – NEMPONT-SAINT-FIRMIN – NEULETTE
– NEUVILLE-AU-CORNET – NEUVILLE-SOUS-MONTREUIL – NOEUX-LES-AUXI – NOYELLES-LES-HUMIERES – NUNCQ-HAUTECOTE – OEUF-EN-TERNOIS – OFFIN – ORVILLE – PAS-EN-ARTOIS – POMMERA – POMMIER – PUISIEUX –
QUOEUX-HAUT-MAINIL – RANG-DU-FLIERS – RAYE-SUR-AUTHIE – REBREUVE-SUR-CANCHE – REBREUVIETTE – RECQUES-SUR-COURSE – REGNAUVILLE – ROLLANCOURT – ROUGEFAY – ROUSSENT – SAILLY-AU-BOIS – SAINT-AMAND –
SAINT-AUBIN – SAINT-DENOEUX – SAINTE-AUSTREBERTHE – SAINT-GEORGES – SAINT-JOSSE – SAINT-REMY-AU-BOIS – SARS-LE-BOIS – SARTON – SAULCHOY – SAULTY – SEMPY – SERICOURT – SIBIVILLE – SOMBRIN – SORRUS
– SOUASTRE – SUS-SAINT-LEGER – THIEVRES – TIGNY-NOYELLE – TOLLENT – TORTEFONTAINE – TUBERSENT – VACQUERIE-LE-BOUCQ – VACQUERIETTE-ERQUIERES – VAULX – VERTON – VIEIL-HESDIN – VILLERS-L’HOPITAL –
WABEN – WAIL – WAILLY-BEAUCAMP – WAMBERCOURT – WAMIN

Toutes les autres communes sont en zone de sismicité «faible»

Si la maison individuelle continue tranquillement à évoluer dans son architecture vers
des lignes de plus en plus contemporaines et minimalistes, on constate aussi depuis quelques années une importante mutation dans l’organisation des intérieurs qui se veulent plus conviviaux, plus
aérés, et qui surtout, se caractérisent par la recherche de la lumière, du confort et de la fonctionnalité.

La cuisine a suivi la même évolution, en tendant vers l’idée que si l’endroit se doit d’être convivial, il doit aussi et surtout présenter un caractère pratique et fonctionnel. Fini la cuisine
classique où encore il y a quelques années on nous demandait de placer l’évier sous la fenêtre ! Place à la flexibilité !
Je me rends compte au travers des projets que nous avons réalisés sur les 2 dernières années, que 2 tendances se dégagent : la cuisine « américaine », ou le style sobre et épuré d’une grande «
cuisine-atelier »  avec ilot central.

En ce qui concerne la cuisine « américaine » ouverte sur le séjour celle-ci est souvent séparée par un meuble-bar idéal pour les petits déjeuners, les gouters des enfants ou les repas pris «sur le
pouce». Elle reste un succès pour ceux et celles qui préfèrent privilégier les surfaces généreuses dans le séjour en limitant la surface consacrée à la cuisine. (Une surface de 10 à 12 m² est
suffisante pour implanter une cuisine “américaine”).

Celle-ci devient alors un simple laboratoire de préparation pour une famille qui préfèrera prendre les repas principaux dans l’espace salle à manger du séjour. Je pense que le fait que ces cuisines
ouvertes restent un grand succès est aussi dû au fait qu’elles permettent d’offrir une sensation d’espace plus importante à l’ensemble  séjour-salon-cuisine, en évitant de cloisonner chacune
de ces pièces à vivre. Ambiance « Loft »…

La « cuisine-atelier » a remplacé en grande proportion la traditionnelle cuisine avec coin repas qui ornait la majorité de nos projets il y a encore 1 an ou 2. Non pas que cette dernière ait
disparue, mais indéniablement, cette nouvelle tendance s’inscrit de plus en plus dans nos projets… Un seul mur d’éléments où s’intègreront le réfrigérateur, le four et le lave-vaisselle et divers
rangements, et un ilot central dans lequel s’inscriront la plaque de cuisson et l’évier près d’un coin préparation et de l’espace repas.

Dans cette ambiance épurée, l’aspect fonctionnel de la pièce est masqué par une esthétique d’ensemble visant l’harmonie parfaite. La technologie de pointe se cache derrière des portes décoratives.
Tout s’encastre, y compris la machine à expresso, le lave-vaisselle, le réfrigérateur ou la hotte. Inspirée des cuisines de chefs, la cuisine atelier s’équipe d’un matériel ultra-performant avec de
grandes surfaces de travail et une maxi table-bar autour de laquelle les invités apprécient un bon vin pendant que leurs hôtes mitonnent le dîner.

Preuve que la modernité est conditionnée en priorité par la recherche d’une plus grande convivialité et d’un meilleur confort…

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Les accès et cheminements sont essentiels pour définir les circulations au sein de
votre propriété. Après avoir défini leur forme, de multiples possibilités existent pour les habiller :
Enrobé noir ou rouge, pavés béton ou pavés de pierre bleue, enrobé (macadam), composition de plusieurs matériaux …

Le choix se fait en fonction des goûts mais des budgets bien sûr. Personnellement, j’ai toujours préconisé des matériaux naturels et chauds (pierre, gravillons,) pour agrémenter l’accès d’une
maison très contemporaine de type cubique par exemple, alors que des matériaux plus froids type enrobé ou pavés bétons pourront être envisagés pour une maison moderne d’allure plus classique.

Les oppositions que l’on conseille souvent en déco intérieure sont bienvenues aussi dans l’aménagement paysager… Tout comme un jardin très naturel vient réchauffer l’ambiance générale d’une
maison cubique, un jardin très structuré convient bien à des villas plus classiques.
J’apprécie aussi les mélanges de matériaux de type enrobé/pierre bleue qui offrent d’heureuses combinaisons…

Bien sûr selon les surfaces souhaitées, le budget sera un facteur déterminant pour le choix final :
Une fois que le fond de forme est prêt, (il s’agit de la couche de fond prête à recevoir le choix de finition), Il faudra compter environ 12 euros/m2 pour un gravillon, 48 euros/m2 pour de
l’enrobé et environ 110 euros/m2 pour des pavés en pierre bleue. Ces prix comprenant la fourniture et la pose doivent être pris à titre indicatif et varieront selon les surfaces à traiter.

Pour les finitions en gravillons, il est conseillé d’y ajouter une pose de fines bordures afin d’éviter que les cailloux se mélangent au gazon et offrir à votre accès des contours parfaits. (Prix
: environ 32 euros/mètre linéaire)

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Il y a déjà plusieurs années qu’au sein de Demeures du Nord nous essayons d’imposer ces car-ports car au-delà de
leur qualité de protection, je trouve qu’ils donnent du volume à la maison tout en en allégeant la ligne générale par un volume plus bas…

Il est un élément d’architecture à part entière…

Il y a une époque, on ne rencontrait que très peu de car-port dans notre région. On les trouvait plutôt dans les
régions du sud, offrant une protection contre le soleil et la chaleur.

Pourtant, on ignorait encore combien cet élément de la construction peut être une redoutable protection pour la
voiture en hiver.

J’ai la chance de garer chaque soir ma voiture sous un car-port, et c’est déjà un véritable plaisir de ne pas
avoir à le faire dans le garage souvent encombré par les vélos, la tondeuse et autres…

La voiture est sans cesse ventilée, la neige et la pluie ne peuvent l’atteindre ; et quel plaisir par les
températures glaciales de découvrir le matin des vitres particulièrement claires, sans givre ou glace ! Pas de carreaux à gratter par froid glacial !

Le phénomène est simple comme bonjour : l’humidité ne pouvant pas tomber sur la voiture parfaitement protégée et
ventilée, le givre ne peut pas s’installer !

En été, les jours de grosses chaleurs, (oui ca arrive),  ces car-port protègent efficacement du soleil et
gardent la voiture au frais !

C’est pourquoi je conseille souvent à mes clients d’opter plutôt pour un garage 1voiture + un car-port plutôt
qu’uniquement un garage 2 voitures…

Question de confort et d’architecture !

Saviez-vous que l’homme respire en moyenne 26 000 fois par jour ? Tout comme on se
préoccupe de l’eau que l’on boit et tout comme on cherche à avoir une alimentation saine, on se doit de chercher à respirer un air sain pour le bien-être de chacun…

Pour le bien, il faudrait pouvoir aérer chaque pièce plusieurs fois par jour…
Difficile à envisager lorsqu’on connaît l’emploi du temps d’une famille moderne !

C’est pour cela que sont installés dans chaque nouveau logement des systèmes
automatiques de Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC).

Comment fonctionne la VMC
?

L’air extérieur entre par les grilles d’entrées d’air dans les pièces principales,
traverse le logement et est ensuite rejeté à l’extérieur par les pièces humides (salles de bains, WC, cellier) grâce à un ventilateur.
Grâce aux bouches hygro-réglables, les débits d’air s’adaptent automatiquement aux besoins des occupants (selon la variation du taux d’humidité) apportant confort et économies
d’énergie.

Le logement est ainsi aéré en permanence et surtout asséché évitant aux pollutions
diverses de stagner dans le logement.
Au résultat, d’importantes économies d’énergie sont réalisées puisqu’il est plus aisé de réchauffer une atmosphère sèche qu’humide. 
 
Document Aldes.

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Depuis quelques temps, Demeures du Nord propose la gamme d’interrupteurs “Espace de chez Arnould” pour sa ligne blanche, simple et galbée, que je trouve très
discrète et surtout intemporelle.

La collection Espace vient à présent de se doter de plaques de couleur translucide
coloré, harmonieuses et aisément interchangeables que vous choisirez au gré des tonalités que vous donnerez à chacune de vos pièces: idéal pour personnaliser la décoration de votre intérieur.

Cette superbe idée offre à présent une variété de couleurs acidulées ou chaudes et
font de ces interrupteurs des éléments très « tendance ! »

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